Jusqu’au 15 décembre prochain, les forces de l’ordre, associations de victimes, commerçants et élus sont notamment consultés jusqu’en Drôme/Ardèche. Objectif : évoquer la « police de sécurité au quotidien », voulue par le ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb. Les premières expérimentations seront lancées début 2018. « La parole est libre », comme l’explique le préfet de la Drôme, Eric Spitz.
Le représentant de l’Etat évoque aussi les spécificités du département en matière de délinquance.
Dans la Drôme, une première réunion avait lieu hier soir à Allex. Une autre est prévue le 30 novembre à Nyons, puis le 6 décembre à Valence.