Leur entreprise avait travaillé pour l’ex-usine RVI, aujourd’hui IvecoBus à Annonay. Les six employés demandaient à ce que le préjudice anxiété soit reconnu car ils disent avoir été exposés à l’amiante en procédant au nettoyage du fabricant d’autocars. Ils entendent faire appel du jugement des Prud’hommes.