Une soixantaine de personnes se sont réunies place de la Liberté, hier après-midi à Annonay. Ils étaient une cinquantaine à Privas et autant à Aubenas. A l’appel de la CGT, militants et sympathisants ont souhaité apporter leur soutien à cinq salariés de la compagnie aérienne. Ces cinq personnes étaient jugées pour violences aggravées après l’affaire de la chemise déchirée, en marge d’un comité central d’entreprise.