L’homme d’affaires brésilien était jugé hier en appel à Grenoble. En 2008, il avait tenté de reprendre le chausseur romanais Charles Jourdan. Mais il avait berné le tribunal de commerce de Romans en présentant de faux documents bancaires ce qui avait entraîné la fermeture de l’usine, et la perte de 190 emplois. Mauricio Cavalcanti et deux de ses associés étaient poursuivis pour faux, usage de faux et escroquerie.