Le maire de Valence tape du poing sur la table. Il met en grève le conseil de surveillance de l’hôpital, qu’il préside. Le personnel médical et non médical des urgences est en grève depuis le 26 mars dernier. Nicolas Daragon a donc choisi de se ranger de leur côté. Il explique les possibles conséquences de ce mouvement inédit.
L’élu attend des réponses concrètes de la ministre de la santé, Agnès Buzyn, à qui il a d’ailleurs écrit.
Alors l’avenir de l’hôpital de Valence est-il menacé ? « Non », selon lui.