Leur entreprise a travaillé pour l’ex-usine RVI, aujourd’hui IvecoBus à Annonay. Les employés disent avoir été exposés à l’amiante en procédant au nettoyage du fabricant d’autocars. Ils réclament à ce que le préjudice anxiété soit reconnu. La décision du conseil des prud’hommes de Valence sera connue le 6 mars prochain. La semaine dernière, on apprenait que 49 salariés d’RVI allaient pouvoir être indemnisés justement pour le préjudice anxiété lié à l’exposition à l’amiante pendant des années.