Après avoir été déboutés par le conseil des Prud’hommes de Valence la semaine dernière, les six salariés de la société de propreté Onet ont écrit au président de la République. Dans un courrier, le collectif des sous-traitants d’RVI (aujourd’hui IvecoBus) d’Annonay réclame que le préjudice anxiété soit reconnu « au même titre que les entreprises donneurs d’ordre », en raison de leur exposition à l’amiante.