Comme les cafés, bars et restaurants, les discothèques ont dû fermer en mars. Mais elles ne rouvriront pas, au moins, avant le 21 juin. Depuis plusieurs semaines pourtant, les dirigeants de boîtes de nuit font savoir qu’ils souhaitent être davantage écoutés. La fermeture forcée, qui a entraîné des mesures de chômage partiel et un manque à gagner, a des conséquences importantes pour l’activité. Illustration avec Franck Mésona, gérant du Seven, discothèque à Saint-Péray.
« On aimerait un dialogue du gouvernement avec le monde de la nuit » explique l’Ardéchois.
Même en cas de réouverture, une distanciation serait compliquée à mettre en place dans les boîtes de nuit, établissements où le contact est très important.
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Alors faut-il, comme c’est le cas en Allemagne, envisager une évolution de l’activité, et proposer par exemple de la restauration ?
Plusieurs dirigeants de discothèques ont lancé une pétition en ligne, « les oubliés de la nuit ».
