Trois mois après sa participation aux jeux olympiques de Tokyo, où il a décroché dans la douleur la médaille d’argent, Kévin Mayer, champion du monde du décathlon en 2017, était de passage à Bourg-lès-Valence la semaine dernière. Il était reçu chez Infologic, entreprise qui l’accompagne dans sa carrière.
Des souvenirs en Drôme-Ardèche
L’occasion pour Kévin Mayer, qui a grandi à La Roche-de-Glun, d’évoquer ses souvenirs dans la région : « c’est là que j’ai été formé en athlétisme, c’est là que j’ai fait tout mon parcours […] j’ai grandi en tant que sportif et en tant qu’homme ici » se souvient-il. « J’ai passé le dur cap de l’adolescence, il s’est passé des moments très difficile ici ». La Drôme a été un point de repère pour le jeune homme, car c’est grâce à elle et à toutes ces personnes avec qui il a grandi, qu’il dit être l’homme qu’il est aujourd’hui.
Un agenda bien rempli avant les JO de Paris 2024
Avant les Jeux Olympiques de Paris, dans moins de trois ans, « il y aura pleins de compétitions à faire, notamment dans l’année 2022, les championnats du monde à Belgrade (indoor, ndlr), puis les championnats du monde dans l’Oregon en outdoor, et les championnats d’Europe à Munich trois semaines après », indique le sportif. Toutes ces préparations semblent être prometteuses, selon Kévin Mayer. Concernant les Jeux Olympiques de Paris, le décathlonien l’annonce : « il y a moyen que je sois plus fort que maintenant […] je m’entraîne pour ça, pour être au delà du niveau que j’avais avant mon record du monde ».
(Ré)écoutez son interview complète au micro de Guillaume Sockeel :
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